Voilà
le triste résultat:
Pour
faire suite à l’article en page de couverture de La Dépêche du
Midi en Tarn-et-Garonne du Vendredi 30 septembre 2016 parlant de la
recrudescence des rats dans la ville de Montauban: nous pensons qu’il
aurait été préférable de garder quelques chats libres dans les
quartiers de notre ville.
Cette politique, nous la prônons depuis 2012 afin de réguler ces populations de rongeurs porteurs de maladies, tout en dénoncant les pratiques des services d'hygiène Municipaux de "déchatisation" systématique sortant du cadre de la loi.
Notre Association des chats libres de Montauban qui tente d’œuvrer pour conserver quelques chats de quartier depuis quatre ans ne cesse de répéter que notre ami félin a la capacité de chasser ces intrus, évitant ainsi une utilisation massive de poison.
Poison que nos enfants ou même nos chats domestiques risquent d'ingérer avec toutes les conséquences que cela implique.
L'action du chat est une méthode naturelle et bien plus écologique que celle utilisée par nos services Municipaux. Ne voit-on pas actuellement des cadavres de rats empoisonnés dans nos rues qui s’éloignent du groupe pour mourir ? Où est l’hygiène ?
Cette politique, nous la prônons depuis 2012 afin de réguler ces populations de rongeurs porteurs de maladies, tout en dénoncant les pratiques des services d'hygiène Municipaux de "déchatisation" systématique sortant du cadre de la loi.
Notre Association des chats libres de Montauban qui tente d’œuvrer pour conserver quelques chats de quartier depuis quatre ans ne cesse de répéter que notre ami félin a la capacité de chasser ces intrus, évitant ainsi une utilisation massive de poison.
Poison que nos enfants ou même nos chats domestiques risquent d'ingérer avec toutes les conséquences que cela implique.
L'action du chat est une méthode naturelle et bien plus écologique que celle utilisée par nos services Municipaux. Ne voit-on pas actuellement des cadavres de rats empoisonnés dans nos rues qui s’éloignent du groupe pour mourir ? Où est l’hygiène ?
Reprenons
le chat en considération comme le faisaient nos anciens et cela
depuis l’Antiquité. Les Egyptiens les momifiaient comme des dieux
à l’instar de Bastet. Plus récemment à Venise, face à une
prolifération de rats, les chats ont été réintroduits, relevant
même du patrimoine national italien, pas moins !
Revenons
au chat de salut public défenseur de l’hygiène des habitants de
la cité !
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